drôle comme je me sens détachée d'elle.

ouais, mademoiselle j'sais-pu-qui, j'suis consciente que c'était stupide. j'suis consciente que je vais le regretter dans une demie-heure, si ce n'est pas déjà fait. mais radiorochebelle, j'ai pas le droit de vouloir qu'on arrête de me considérer comme celle-qu'on-peut-frapper-parce-qu'anyway-elle-sera-toujours-là? ouais. à condition que tu arrêtes de dire que tu vaux pas la peine qu'on fasse des efforts pour que tu sois là. t'es pas cohérente pis tu le sais. décide-toi une fois pour toutes. je dis pas nécessairement que je mérite qu'on s'attarde à moi. je dis qu'on peut pas vraiment me faire mal sous prétexte que même si on y met pas d'efforts je vais rester là. essaye pas. t'es pas claire et comme je te connais c'est probablement juste parce que t'essaies de vadrouiller une explication vaseuse pour pas avoir à admettre la vérité. après tout, c'est probablement pas complètement pour rien qu'on te tape dessus. ta gueule, pour qui tu te prends? de quoi tu parles anyway? j'veux dire, j'en ai mis des efforts là me semble?! ouais. des efforts qui n'en sont pas vraiment. t'essaies jamais d'aller plus loin que les surfaces, t'es bloquée par une attitude un tant soit peu négative. en fait tu veux pas l'admettre mais t'es juste lâche.

c'toujours agréable.

(no subject)

et aussi incroyable que cela puisse paraître, je me sens presque bien, entourée de par cette musique de la vérité de ton absence..

(who needs illusions anyway? you're not here anymore. i think i'll live, maybe. i'll wait 'til june 2003 comes. and then, well, we'll just.. see.)