cher devoir sur les thesis statements,
tu sais, j'ai assez peu de respect pour toi. t'es peut-être pas au courant, mais ça fait déjà cinq longues années que je vois et revois la matière que tu essaies de m'inculquer de façon longue, fastidieuse et inintéressante. alors quand tu me dis d'écrire trois introductions sur le même sujet - pardon, sur la même thesis statement - moi j'ai envie de te dire 'fuck you, j'm'en vais dormir'.
fuck you, j'm'en vais dormir.
mireille
des fois on devient un peu paranoïaque, et dans ce temps-là c'est bien de tuer l'irrationelle peur dans l'oeuf d'un «j'vais avoir l'air étrange là, mais as-tu une blonde?», même si ça sonne 'fille qui s'est trop fait niaiser' à des milles à la ronde et que ça interloque.. l'interlocuteur, surtout quand la question est posée par une fille qu'il embrasse depuis relativement une semaine et qui porte au moment de ladite question un de ses chandails.
sur ce. (j'me demande souvent comme traduire ce terme que je chéris. onwards?) j'm'éloigne passablement beaucoup de mes copains du secondaire, ce qui est un peu triste. même si aujourd'hui j'suis allée surprendre
gabsy-chérie à son travail et que tudor m'appelle régulièrement les vendredis soirs parce que «ah là mireille j'ai tellement envie d'faire de quoi avec vous!». et j'ai croisé un faux poète vendredi, ce qui m'a fait sourire stupidement pendant quelques heures. une fois qu'on réalise la fausseté des faux poètes (ouioui, la fausseté des faux!), tout va en général beaucoup mieux.
suite à un bébé-sondage dans un entourage lecteur de mon elji, il semblerait que je sois légèrement cryptique même dans mes posts allant de neutres à joyeux. ce qui, bien sûr, est la vie, et peut toujours être éclairci dans le privé si la chose vous chicote.
bonne nuit les petits enfants, il est tard et je nage demain, comme halle berry dans gothika du dieutal mathieu kassovitz. (bon, v'là la grande cinéfille.)
tu sais, j'ai assez peu de respect pour toi. t'es peut-être pas au courant, mais ça fait déjà cinq longues années que je vois et revois la matière que tu essaies de m'inculquer de façon longue, fastidieuse et inintéressante. alors quand tu me dis d'écrire trois introductions sur le même sujet - pardon, sur la même thesis statement - moi j'ai envie de te dire 'fuck you, j'm'en vais dormir'.
fuck you, j'm'en vais dormir.
mireille
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des fois on devient un peu paranoïaque, et dans ce temps-là c'est bien de tuer l'irrationelle peur dans l'oeuf d'un «j'vais avoir l'air étrange là, mais as-tu une blonde?», même si ça sonne 'fille qui s'est trop fait niaiser' à des milles à la ronde et que ça interloque.. l'interlocuteur, surtout quand la question est posée par une fille qu'il embrasse depuis relativement une semaine et qui porte au moment de ladite question un de ses chandails.
sur ce. (j'me demande souvent comme traduire ce terme que je chéris. onwards?) j'm'éloigne passablement beaucoup de mes copains du secondaire, ce qui est un peu triste. même si aujourd'hui j'suis allée surprendre
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suite à un bébé-sondage dans un entourage lecteur de mon elji, il semblerait que je sois légèrement cryptique même dans mes posts allant de neutres à joyeux. ce qui, bien sûr, est la vie, et peut toujours être éclairci dans le privé si la chose vous chicote.
bonne nuit les petits enfants, il est tard et je nage demain, comme halle berry dans gothika du dieutal mathieu kassovitz. (bon, v'là la grande cinéfille.)