![[personal profile]](https://www.dreamwidth.org/img/silk/identity/user.png){kind=small}
le gars de la psychologie à cinq cennes est dans mon salon et il m'a promis d'essayer d'ouvrir son stand mercredi prochain plutôt que mardi, juste pour moi et par compassion envers mes neuf heures de cours du mardi. parce que tsé, il y a rien de tel qu'une bonne petite séance de psychologie à cinq cennes pour me remettre sur le piton; y'a juste lui pour me faire rire en me disant que peu importe c'que j'fais, j'm'en sors pas (t'es comme jean leloup, t'es foutue dans les deux cas). et pour me convaincre que l'homme qui m'intéresse le plus sur la terre en ce moment est atteint du syndrome de patrick huard et est donc vachement à éviter.
m'enfin. on se rapproche tranquillement du bout stressant de la session qui s'appelle la fin, et certains diront même qu'on est déjà dedans. alors sagesse serait d'aller dormir, puisque je suis pas en train de faire bouger charlie brown ou d'être subjective sur le sommet des amériques, mais demain je me lève (un peu plus) tard parce que la présence au cours d'anglais est laissée à la discrétion des élèves et que tsé, j'suis très discrète. alors je viens écrire ici, même si à vrai dire, j'ai pas grand chose à raconter, maintenant que mon punch de gars de de la psycho à cinq cennes dans mon salon est passé.
ah, si, je pourrais toujours dire qu'aujourd'hui mon prof sexy a dit et je cite «je suis dans mademoiselle duval».. duval étant mon nom de famille. ma copine qui est derrière moi et avec qui j'ai l'habitude de communiquer sur msn pendant les cours avec ordi a pas pu s'empêcher de m'envoyer un message instantané roulé en boule sur un petit papier et ma voisine a écrit dans ses notes «t'aimerais bien trop ça..» pendant que j'me retenais difficilement de rire, ce qui cause toujours des regards amusés dudit prof vers ma personne, ce qui cette fois-ci me faisait pouffer encore plus. en tout cas. (j'ai l'impression de m'être vraiment embrouillée dans ma phrase!) et, bref, on s'est offert pour dépanner si jamais j'suis en manque d'être enceinte, et y'a eu plein de cafouillis par rapport aux gars qui sont ou non mes amoureux. (et pour que je dise ce mot-là au pluriel, c'est parce qu'il y en a eu, du cafouillis.)
et puis.
m'enfin. on se rapproche tranquillement du bout stressant de la session qui s'appelle la fin, et certains diront même qu'on est déjà dedans. alors sagesse serait d'aller dormir, puisque je suis pas en train de faire bouger charlie brown ou d'être subjective sur le sommet des amériques, mais demain je me lève (un peu plus) tard parce que la présence au cours d'anglais est laissée à la discrétion des élèves et que tsé, j'suis très discrète. alors je viens écrire ici, même si à vrai dire, j'ai pas grand chose à raconter, maintenant que mon punch de gars de de la psycho à cinq cennes dans mon salon est passé.
ah, si, je pourrais toujours dire qu'aujourd'hui mon prof sexy a dit et je cite «je suis dans mademoiselle duval».. duval étant mon nom de famille. ma copine qui est derrière moi et avec qui j'ai l'habitude de communiquer sur msn pendant les cours avec ordi a pas pu s'empêcher de m'envoyer un message instantané roulé en boule sur un petit papier et ma voisine a écrit dans ses notes «t'aimerais bien trop ça..» pendant que j'me retenais difficilement de rire, ce qui cause toujours des regards amusés dudit prof vers ma personne, ce qui cette fois-ci me faisait pouffer encore plus. en tout cas. (j'ai l'impression de m'être vraiment embrouillée dans ma phrase!) et, bref, on s'est offert pour dépanner si jamais j'suis en manque d'être enceinte, et y'a eu plein de cafouillis par rapport aux gars qui sont ou non mes amoureux. (et pour que je dise ce mot-là au pluriel, c'est parce qu'il y en a eu, du cafouillis.)
et puis.
| la grand-messe is love | |||||
| brought to you by the isLove Generator | |||||
