and i bet and you exploded in my heart.
May. 6th, 2005 05:55 pmcher monsieur jordi bonet (affectueusement surnommé « casquette »),
vous me voyez affreusement désolée de devoir massacrer votre oeuvre en faisant du montage de photos qui n'ont pas le même angle. vraiment, je fais mon possible pour la retoucher aussi peu que faire se peut, mais des fois j'ai juste pas le choix de faire se twister un peu une ligne courbe pour qu'elle se raccorde à son autre bout. sachez que j'aime beaucoup votre oeuvre tout de même - en fait, un peu plus chaque jour.
je vous envoie ci-jointes mes plus plates excuses.
une étudiante qui fait une borne interactive sur votre murale
je pense que ça serait un peu exagéré de ploguer
fermelaradio une troisième fois en ligne. je vais donc vous faire part de quelques brefs événements de ma palpitante vie! comme par exemple: aujourd'hui il fait super beau, et j'suis restée devant mon écran à me souvenir que les sims deux ça existait et à faire du montage photo tout en checkant compulsivement si petri ou le forum des multimédiens étaient updatés. quel dommage, tout de même! mais en même temps, je sais jamais trop quoi aller faire dehors. dans le sens, j'aime ça être dehors, faire des trucs dehors, mais quand il s'agit d'être dehors pour être dehors, j'sais jamais vraiment. lire sur la terrasse, ça c'est sympathique. marcher, mais je marche un p'tit peu trop pour que ça me tente encore - et puis, c'est pas nécessairement mon plus gros trip que de marcher pour marcher sans aller nulle part, ça finit toujours par me vague-à-l'âmer.
je pars à new york dans une semaine, pile. voulez-vous que je vous dise, ça ça va être excitant. c'est toujours le fun, de voyager avec des gens de l'école, surtout quand EN PLUS y'a un prof sexy dans le décor. (quoique ledit prof sexy m'intéresse moins depuis que j'ai acquis un quasi-certitude qu'il a une copine. mais bon, que voulez-vous.) et dans deux semaines, pile, je pars en italie. en fait, j'vais arriver à paris. mais bon, le voyage est surtout en italie. et j'connais à peu près personne des gens avec qui je vais partir, et c'est drôle parce qu'à la fin du voyage je risque de tous avoir envie de les serrer très fort dans mes bras. et j'ai décidé de m'acheter des boucles d'oreilles dans chaque ville que je visite, à l'avenir, parce qu'il y a toujours des petits marchands qui en vendent sur les bords de rue et parce que ça fait tellement jet-set quand on me demande d'où elles viennent mes boucles d'oreilles de répondre «oh, de prague, sur le pont charles..». (H), comme on dit.
sinon, que diiiire. il y a deux-trois étudiants de mon cours de philosophie, dont moi faut-il le préciser, qui ont pris l'habitude de lambiner un peu dans le local le jeudi après le cours, et ça donne toujours lieu à des partys philosophiques passablement intéressants, quoique fort brefs. l'autre jour mon prof a parlé un toutsi peu de nietzsche en classe («nietzsche, ce que j'en pense? il y a bien des lettres inutiles dans son nom.» - renard) et il en a profité pour me couler un regard de côté, c'était presque drôle, comme si y'avait une blague d'intérieur entre nous au sujet de ce cher moustachu. en tout cas. moi le cours de philosophie, j'aime ça.
et j'ai toujours envie d'écouter lost-en-français (parce que «perdus», c'est laid!). ça arrive, je pense.
vous me voyez affreusement désolée de devoir massacrer votre oeuvre en faisant du montage de photos qui n'ont pas le même angle. vraiment, je fais mon possible pour la retoucher aussi peu que faire se peut, mais des fois j'ai juste pas le choix de faire se twister un peu une ligne courbe pour qu'elle se raccorde à son autre bout. sachez que j'aime beaucoup votre oeuvre tout de même - en fait, un peu plus chaque jour.
je vous envoie ci-jointes mes plus plates excuses.
une étudiante qui fait une borne interactive sur votre murale
je pense que ça serait un peu exagéré de ploguer
je pars à new york dans une semaine, pile. voulez-vous que je vous dise, ça ça va être excitant. c'est toujours le fun, de voyager avec des gens de l'école, surtout quand EN PLUS y'a un prof sexy dans le décor. (quoique ledit prof sexy m'intéresse moins depuis que j'ai acquis un quasi-certitude qu'il a une copine. mais bon, que voulez-vous.) et dans deux semaines, pile, je pars en italie. en fait, j'vais arriver à paris. mais bon, le voyage est surtout en italie. et j'connais à peu près personne des gens avec qui je vais partir, et c'est drôle parce qu'à la fin du voyage je risque de tous avoir envie de les serrer très fort dans mes bras. et j'ai décidé de m'acheter des boucles d'oreilles dans chaque ville que je visite, à l'avenir, parce qu'il y a toujours des petits marchands qui en vendent sur les bords de rue et parce que ça fait tellement jet-set quand on me demande d'où elles viennent mes boucles d'oreilles de répondre «oh, de prague, sur le pont charles..». (H), comme on dit.
sinon, que diiiire. il y a deux-trois étudiants de mon cours de philosophie, dont moi faut-il le préciser, qui ont pris l'habitude de lambiner un peu dans le local le jeudi après le cours, et ça donne toujours lieu à des partys philosophiques passablement intéressants, quoique fort brefs. l'autre jour mon prof a parlé un toutsi peu de nietzsche en classe («nietzsche, ce que j'en pense? il y a bien des lettres inutiles dans son nom.» - renard) et il en a profité pour me couler un regard de côté, c'était presque drôle, comme si y'avait une blague d'intérieur entre nous au sujet de ce cher moustachu. en tout cas. moi le cours de philosophie, j'aime ça.
et j'ai toujours envie d'écouter lost-en-français (parce que «perdus», c'est laid!). ça arrive, je pense.