i do believe in commas. i do, i do.
Jun. 30th, 2007 07:58 pmma soeur, qui a certainement décidé d'être originale, déménage ces jours-ci, et tout à l'heure nous a sorti la question suivante: «mais... bell et videotron, c'est pas la même chose?», d'un ton absolument bewildered.
c'est tout, c'est une anecdote de même, qui parlait pas d'harry potter. hier soir, je suis allée voir ratatouille, et c'était, comment dire, bon comme quelque chose de vraiment bon. la preuve, c'est qu'en sortant, j'ai dit: «c'était tellement bon, j'ai même pas pensé à harry potter une fois». c'est vraiment beau, et bon, et tout, et tout. et ça me perturbe vraiment d'updater assez souvent pour faire la critique d'un film dont j'ai parlé dans mon livejournal avant que tout le monde l'ait vu, six mois plus tard.
des fois, je me demande si c'est sain d'être comme moi et d'avoir des genres de, rages d'obsession. comme par exemple, dans les derniers, mettons, 6 mois. j'ai eu un méchant gros trip disney. gros trip comme dans payer 60$ pour un dvd hors-circulation et s'inscrire sur ultimatedisney.com et aller le voir religieusement. pis, ça ça a duré longtemps, je parlais disney et respirais disney. pis à madné, j'ai arrêté, mais j'suis pas comme, revenue à la normale. je me suis mise à triper sur jane austen. j'ai écouté pride and prejudice cinquante-six mille fois pis j'ai acheté quatre dvds de films d'elle, pis toutt. et là, c'est harry potter. comme c'est painfully obvious so i won't dwell on that.
je veux dire, pourquoi est-ce que j'ai pas de moments où est-ce que j'suis pas obsédée par rien? de moments tranquilles où je peux embrasser mon chum sans m'imaginer que je suis elizabeth bennett, mettons. pourquoi. suis-je anormale docteur.
voilà, c'était une introspection gratuite, POUR VOUS CHERS LECTEURS. (ouf, j'ai eu peur de faire tout un post sans caps-lock!)
c'est tout, c'est une anecdote de même, qui parlait pas d'harry potter. hier soir, je suis allée voir ratatouille, et c'était, comment dire, bon comme quelque chose de vraiment bon. la preuve, c'est qu'en sortant, j'ai dit: «c'était tellement bon, j'ai même pas pensé à harry potter une fois». c'est vraiment beau, et bon, et tout, et tout. et ça me perturbe vraiment d'updater assez souvent pour faire la critique d'un film dont j'ai parlé dans mon livejournal avant que tout le monde l'ait vu, six mois plus tard.
des fois, je me demande si c'est sain d'être comme moi et d'avoir des genres de, rages d'obsession. comme par exemple, dans les derniers, mettons, 6 mois. j'ai eu un méchant gros trip disney. gros trip comme dans payer 60$ pour un dvd hors-circulation et s'inscrire sur ultimatedisney.com et aller le voir religieusement. pis, ça ça a duré longtemps, je parlais disney et respirais disney. pis à madné, j'ai arrêté, mais j'suis pas comme, revenue à la normale. je me suis mise à triper sur jane austen. j'ai écouté pride and prejudice cinquante-six mille fois pis j'ai acheté quatre dvds de films d'elle, pis toutt. et là, c'est harry potter. comme c'est painfully obvious so i won't dwell on that.
je veux dire, pourquoi est-ce que j'ai pas de moments où est-ce que j'suis pas obsédée par rien? de moments tranquilles où je peux embrasser mon chum sans m'imaginer que je suis elizabeth bennett, mettons. pourquoi. suis-je anormale docteur.
voilà, c'était une introspection gratuite, POUR VOUS CHERS LECTEURS. (ouf, j'ai eu peur de faire tout un post sans caps-lock!)