je prends quelques minutes avant ma délicieuse pause-dîner pour vous entretenir, chers lecteurs, de ma fascinante vie. cela va comme suit:
ce soir, je débute une série de 10 jours de fashion faux-pas, initiés par le festival d'été de québec, rien de moins. un jour, dans l'temps d'la polyvalente (non, j'étais pas le kick de toutes les étudiantes), j'ai décidé qu'à chaque jour du festival d'été, je porterais un t-shirt approprié. dans ce temps béni où j'étais jeune et naïve, j'ignorais tout des fashion faux-pas, ce qui fait qu'aujourd'hui, je porte joyeusement mon vieux t-shirt d'attache ta tuque, et que non, je vais pas l'enlever quand les cowboys vont entrer sur scène. (si je reste jusque là. onze heures, c'est tard!)
le festival d'été, ça tombe vraiment bien, parce que sans lui j'aurais pu risquer la crise cardiaque pour excès de pottermania. j'aurais pu inviter jk rowling à mes funérailles, mais j'aime mieux me changer les idées un brin avant d'exploser de hâte et de non-hâte conjugués.
à part de cela, j'ai un nouveau boulot, depuis bientôt deux semaines. bien que le boulot en soi ne soit pas la merveille des merveilles (mais c'est temporaire, des projets plus intéressants courent à ma rencontre), il a plusieurs avantages sur l'autre, soit que du travail à faire, il y en a, que les gens sont adorables et sympathiques et que mon salaire a pratiquement doublé. n'est-ce pas fascinant, une phrase longue de même? fascinant est de toute évidence le mot pour me décrire.
ceci dit, ça sent bon en maudit quand on travaille à côté du micro-ondes, et j'ai faim. tourlou!
ce soir, je débute une série de 10 jours de fashion faux-pas, initiés par le festival d'été de québec, rien de moins. un jour, dans l'temps d'la polyvalente (non, j'étais pas le kick de toutes les étudiantes), j'ai décidé qu'à chaque jour du festival d'été, je porterais un t-shirt approprié. dans ce temps béni où j'étais jeune et naïve, j'ignorais tout des fashion faux-pas, ce qui fait qu'aujourd'hui, je porte joyeusement mon vieux t-shirt d'attache ta tuque, et que non, je vais pas l'enlever quand les cowboys vont entrer sur scène. (si je reste jusque là. onze heures, c'est tard!)
le festival d'été, ça tombe vraiment bien, parce que sans lui j'aurais pu risquer la crise cardiaque pour excès de pottermania. j'aurais pu inviter jk rowling à mes funérailles, mais j'aime mieux me changer les idées un brin avant d'exploser de hâte et de non-hâte conjugués.
à part de cela, j'ai un nouveau boulot, depuis bientôt deux semaines. bien que le boulot en soi ne soit pas la merveille des merveilles (mais c'est temporaire, des projets plus intéressants courent à ma rencontre), il a plusieurs avantages sur l'autre, soit que du travail à faire, il y en a, que les gens sont adorables et sympathiques et que mon salaire a pratiquement doublé. n'est-ce pas fascinant, une phrase longue de même? fascinant est de toute évidence le mot pour me décrire.
ceci dit, ça sent bon en maudit quand on travaille à côté du micro-ondes, et j'ai faim. tourlou!