love, or something ignites in my veins
Feb. 6th, 2005 09:48 pmquand la nuit se pose, se pose, se pose, quand toutes les choses reposent sans bruit. ma maman aime pas ça du tout venir lire qu'est-ce que j'écris ici; ça lui fait serrer son ventre comme si elle violait mon intimité. sur mon bureau, au-dessus de l'habileté cognitive un que je devrais peut-être être en train de plus étudier (même si son titre est comment bien lire les questions) il y a une lettre cachetée qui a passé à travers la ultimate passoire et qui demain va se faire engouffrer par la boîte aux lettres à l'entrée du de koninck. de koninck qui d'ailleurs avait un rejeton mentionné dans le soleil aujourd'hui; paraîtrait qu'il a servi de modèle à saint-exupéry pour son petit prince, paraîtrait même que c'est pas une légende urbaine. j'ai l'impression que tu tisses autour de moi une tangled web pour que mes pensées s'accrochent à toi peu importe leur provenance.
des fois on me demande comment mes amours vont, et je réponds qu'ils se balancent de façon complexe mais qu'ils vont pas vraiment mal. je tombe amoureuse un peu partout, surtout à l'approche de la saint-valentin, des choses simples comme une jolie nouvelle chanson ou comme un frère qui arrive un peu tard dans la chambre trifluvienne qu'on partage pour la nuit et qui exprime son inquiétude en me donnant un bisou en disant «on va jaser, là, hein?». ou même de phrases blagueuses bien tournées qui sonnent comme «t'es pire que l'héroïne», ou de la quodienneté de certaines relations. ou des histoires d'amitié qu'on comprend pas vraiment mais qu'on accueille à bras ouverts.
ma soeur a écrit sur du masking tape des mots d'amour pour sa soeur, qu'elle a collé sur mon écran et sur le miroir de la salle de bain. bref, on a les bonnes recettes. c’est sans doute pourquoi on est tellement heureux.
des fois on me demande comment mes amours vont, et je réponds qu'ils se balancent de façon complexe mais qu'ils vont pas vraiment mal. je tombe amoureuse un peu partout, surtout à l'approche de la saint-valentin, des choses simples comme une jolie nouvelle chanson ou comme un frère qui arrive un peu tard dans la chambre trifluvienne qu'on partage pour la nuit et qui exprime son inquiétude en me donnant un bisou en disant «on va jaser, là, hein?». ou même de phrases blagueuses bien tournées qui sonnent comme «t'es pire que l'héroïne», ou de la quodienneté de certaines relations. ou des histoires d'amitié qu'on comprend pas vraiment mais qu'on accueille à bras ouverts.
ma soeur a écrit sur du masking tape des mots d'amour pour sa soeur, qu'elle a collé sur mon écran et sur le miroir de la salle de bain. bref, on a les bonnes recettes. c’est sans doute pourquoi on est tellement heureux.